La France, l’Europe, le monde entier viennent de vivre et vivent encore pour un temps indéterminé à ce jour, un moment inédit dans l’histoire contemporaine. La majorité de l’humanité se doit d’être confinée, pour se protéger contre un ennemi. Ennemi invisible, mais bien présent… le Covid-19.
Paris confiné, un film qui retrace ces 60 jours
Soixante jours, où nous avons dû accepter une restriction de nos libertés, renoncer à pouvoir circuler librement et à une vie sociale, professionnelle. Alfortville s’est endormie, comme toutes les villes et villages de France. Seuls les déplacements liés à des impératifs stricts furent autorisés. Le pays tout entier est replié sur lui-même. Nous reviendrons sur cette actualité qui aura (peut-être) influé sur le cours de l’histoire. Le Président de la République nous parlait lors de l’une de ses allocutions, du monde d’avant et nous demandait de préparer le monde d’après… les semaines, les mois, les années qui vont suivre, détermineront ce monde d’après. Nous verrons.
Pour l’heure, c’est une invitation à visualiser un court film, mais résumant magnifiquement ces huit semaines passées.
Paris Confiné 2020
Paris Confiné est une production de trois minutes, rendant hommage à la richesse architecturale de la ville, ainsi qu’aux femmes et hommes qui ont assuré la continuité des services essentiels, à commencer par les soins aux patients, à faire vivre la ville, alors endormie.
Pendant 25 jours, les réalisateurs ont capturé cette ambiance inédite dans la ville lumière, afin de montrer la manière dont la ville et ses habitants ont traversé ce moment particulier.
Depuis le ciel et grâce à des centaines d’heures de rush tournées grâce à un drone, ils distillent ainsi une vision à la fois immuable de la capitale, de son patrimoine, et un instantané de cette parenthèse où les solidarités humaines se sont exprimées face à l’épidémie du Covid-19.
Le film témoigne de ce faux-semblant : une ville en apparence sous confinement dans laquelle la visibilité de certaines tâches et de certains métiers a été révélée dans l’urgence de cette crise sanitaire.
Hommage à celles et ceux qui ont continué à faire vivre la ville, la vie
A l’image de la devise de la ville de Paris, Fluctuat nec mergitur, les deux auteurs ont mis en avant , par contraste avec cette immobilité imposée sublimant l’architecture de la ville, cette mobilité nouvelle, rendue visible par l’engagement de concitoyens qui ont contribué, aidé par leurs actions de solidarité les Franciliennes et Franciliens à traverser cette épreuve.